Principales opérations sur FNB pour 2026 : Conviction, contexte et respect de l’imprévisibilité

16 déc. 2025

La fin de l’année est une période spéciale. Le ralentissement de la modulation des marchés donne à de nombreux analystes le temps de se débrancher, ce qui amène inévitablement à réfléchir à ce que l’année prochaine réserve. À mesure que les idées commencent à prendre forme, des convictions commencent à se former et l’on se fait une idée générale de l’évolution du marché.

C’est presque toujours un exercice d’humilité.

Par exemple, examinons un sous-ensemble des événements macroéconomiques/​boursiers importants de cette année :

  • Les rondes répétées de tarifs douaniers et de tarifs de représailles entre les États-Unis et ses principaux partenaires commerciaux (Canada/​Mexique/​Chine/​UE).
  • La vente massive au printemps qui a fait plonger l’indice S&P 500 dans un marché baissier.
  • Les États-Unis qui jonglent avec l’idée d’augmenter l’impôt des investisseurs étrangers (article 899).
  • L’inflation qui est demeurée supérieure à la cible dans de nombreux territoires pendant la majeure partie de l’année.
  • Israël et l’Iran qui échangent des frappes, et les États-Unis qui participent également en attaquant des sites nucléaires iraniens.
  • Les attaques répétées du président américain contre le président en exercice de la Réserve fédérale (Fed), Trump admettant ouvertement qu’il aimerait congédier Powell et le remplacer par quelqu’un qui partage davantage son point de vue.
  • Le président américain qui tente de destituer un membre du conseil d’administration de la Fed.
  • La plus longue paralysie du gouvernement américain de l’histoire.
  • La concentration du marché demeurant élevée et l’intelligence artificielle (IA) pointant de plus en plus vers un territoire de « bulle ». 

Si, à la fin de 2024, vous nous aviez présenté les observations ci-dessus pour 2025, il y a peu de chances que nous nous serions attendus à ce que les actions américaines affichent un rendement de 15 % à 16 % cette année. Nous aurions probablement eu des prévisions correctes pour l’or, mais nous aurions presque certainement hésité quant à l’ampleur des gains cette année (à environ 60 %).

C’est pourquoi nous nous lançons dans cet exercice les yeux clairs et avec un sentiment d’inquiétude (et peut-être un peu d’anxiété). Ce que nous pouvons dire, c’est qu’étant donné la situation actuelle, les opérations ci-dessous sont les mieux positionnées pour bien servir nos lecteurs qui cherchent à se calibrer pour 2026. Veuillez noter qu’il s’agit d’un exercice très différent de notre stratégie de portefeuille (qui sera mise en œuvre au cours de la nouvelle année). Plutôt que de construire un portefeuille adapté à une approche de placement particulière, nous sélectionnons des opérations sur FNB qui, selon nous, brilleront compte tenu des renseignements macroéconomiques dont nous disposons actuellement.

Tout d’abord, voici quelques hypothèses de base :

  • Nous nous attendons à ce que l’économie américaine progresse selon la tendance observée (de 1,8 % à 2,0 %) en 2026, l’inflation demeurant supérieure à la cible de 2 % pour l’année. Le secteur de la main-d’œuvre devrait par ailleurs rester sous une modeste pression, ce qui amènera la Réserve fédérale à réduire son taux une à deux fois de plus par tranches de 25 points de base (pdb).
  • Au Canada, la croissance devrait ralentir par rapport à l’année dernière et s’établir à environ 1,4 % à 1,5 %. Ce niveau est encore légèrement inférieur au potentiel, ce qui signifie que les pressions inflationnistes devraient rester maîtrisées. La Banque du Canada a probablement terminé son assouplissement pour le moment et les discussions sur des hausses de taux à la fin de 2026 semblent encore prématurées.
  • Nous nous attendons à ce que l’indice S&P 500 se redresse d’environ 8 % à 10 % en 2026.
  • Nous nous attendons à ce que les rendements en dollars canadien et américain commencent l’année dans un contexte de consolidation qui devrait céder le pas à une hausse à mesure que l’année progressera.
  • Nous entrevoyons des risques de baisse pour le dollar américain et le dollar canadien au cours des trois prochains mois.

Cela dit, commençons.

Thème 1 – La dynamique de la fin du cycle demeure favorable à la qualité…

En 2026, nous considérons que l’économie américaine privilégie la résilience au détriment de la cyclicité. Ce n’est pas rien, d’autant plus que la phase d’expansion économique actuelle semble un peu longue et que la combinaison des mesures budgétaires et monétaires pourrait déclencher une surchauffe de l’économie (c.-à-d. une hausse des prix, une croissance modérée). Dans ce contexte, nous nous attendons à ce que les investisseurs accordent la priorité aux sociétés dont le bilan est solide et les bénéfices stables – caractéristiques importantes de qualité.

Principales opérations pour ce thème

Graphique 1 – Rendements mensuels moyens des mois où l’IPC de base est supérieur à 2 %

Graphique 1 – Rendements mensuels moyens des mois où l’IPC de base est supérieur à 2 %

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs/MSCI Pour les facteurs américains, les observations remontent à 14 ans. 

Thème 2 – … Mais avec un nombre de meneurs élargi… 

La majeure partie de 2025 a été caractérisée par une migration des flux des États-Unis vers les marchés de l’EAEO et les marchés émergents. Compte tenu de la vigueur et de la stabilité des bénéfices à l’extérieur de l’Amérique du Nord, nous nous attendons à ce que ce thème se poursuive en 2026.

À part la valorisation (voir le graphique 2), cette résilience sera alimentée par l’adoption généralisée de nouvelles technologies sur les marchés autres que les États-Unis et par l’expansion budgétaire dans de nombreux pays. Les deux éléments devraient travailler ensemble pour améliorer les tendances de productivité à l’extérieur des États-Unis.

Dans les pays émergents, nous constatons que différents thèmes convergent pour attirer des capitaux supplémentaires dans ces régions. En effet, les exportateurs de marchandises en Amérique latine devraient continuer de profiter de la hausse des prix, tandis qu’une amélioration du contexte en Chine devrait stimuler l’activité sur les petits marchés asiatiques.

Principales opérations pour ce thème

Graphique 2 – Plusieurs marchés internationaux semblent toujours abordables par rapport aux États-Unis

Graphique 2 – Plusieurs marchés internationaux semblent toujours abordables par rapport aux États-Unis

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs inc./MSCI

Thème 3 – … et un délaissement de l’IA

Le délicat délaissement des secteurs de l’IA et des technologies en faveur d’autres secteurs devrait se poursuivre et alimenter l’incertitude. Cependant, une plus grande adoption des technologies en dehors des secteurs des technologies et des communications entraînera probablement un transfert des capitaux vers des segments moins chers du marché américain.

Dans les secteurs des technologies et des communications, nous pensons que les stratégies actives seront mieux placées pour produire des rendements. C’est en grande partie parce que le marché choisira judicieusement les gagnants et les perdants dans la course à l’IA, car la dépendance accrue au financement par emprunt signifie que les structures de capital existantes sont scrutées à la loupe. Cette situation devrait se traduire par un environnement de consolidation accrue pour l’ensemble des technologies, ce qui soutient un produit comme le ZWT compte tenu de son rendement généreux.

Mis à part les technologies, les secteurs de la santé et des services financiers des États-Unis sont selon nous les mieux positionnés. La santé est notamment devenue une couverture efficace contre les préoccupations liées à l’IA. Le secteur demeure lui aussi un peu abordable, ce qui a également contribué à soutenir son rendement au cours des derniers mois. 

Dans les services financiers, nous nous attendons à ce que la demande de prêts dans l’économie américaine demeure forte, notamment du fait que les bilans des ménages demeurent solides et que les valorisations demeurent bon marché par rapport aux autres secteurs. Les changements réglementaires devraient également donner un coup de pouce au déploiement du capital.

Principales opérations pour ce thème

Thème 4 – Les coudes levés

Au Canada, nous restons optimistes à l’égard des services financiers, mais nous reconnaissons également que ce sera probablement un marché dans lequel l’alpha peut être généré au moyen de stratégies plus actives. 

En effet, nous continuons de priser les banques canadiennes. Leurs solides positions en capital et leur capacité à générer des revenus en dehors des activités traditionnelles de prêts au détail leur permettront de profiter de nombreuses occasions de déploiement des capitaux en 2026. Cependant, les valorisations demeurent un obstacle. Par conséquent, nous privilégions une stratégie d’options d’achat couvertes plutôt que de bêta.

De façon plus générale, sans l’avantage d’une année record pour l’or, nous entrevoyons des risques accrus de volatilité des marchés. Les prochaines négociations sur l’ACEUM (Accord Canada-États-Unis-Mexique) « 2.0 » entraîneront quelques fluctuations du segment de l’actif croisé en dollars canadiens, ce qui signifie qu’il y a une occasion pour les FNB à gestion active de surpasser l’ensemble des placements à bêta sur le marché.

Principales opérations pour ce thème

Graphique 3 – Les valorisations des banques en dollars canadiens sont élevées par rapport aux données historiques

Graphique 3 – Les valorisations des banques en dollars canadiens sont élevées par rapport aux données historiques

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs/Bloomberg.

Thème 5 – Taux variable plutôt que taux fixe

Le contexte des titres à revenu fixe semble sous-optimal dans la plupart des marchés l’an prochain. En effet, comme les banques centrales de la plupart des pays développés sont à la fin de leurs cycles d’assouplissement respectifs et que les primes à l’échéance devraient augmenter dans plusieurs pays, le risque tend à des taux de rendement plus élevés dans de nombreux marchés (y compris au Canada et au Japon) au fil de l’année.

Dans les pays où l’on s’attend à ce que les banques centrales assouplissent davantage leur taux (États-Unis et Royaume-Uni), les marchés ont déjà des taux finaux près de niveaux neutres. Pour que de nouvelles réductions soient décrétées, les conditions économiques devraient encore se détériorer, ce qui nécessiterait un virage vers des politiques de relance. C’est une chose que nous ne prévoyons pas pour le moment. 

En effet, compte tenu de la persistance de l’inflation et de l’augmentation des risques liés aux primes à l’échéance, nous préférons les émissions de titres sous-souverains à taux variable à ceux à taux fixes dans la composante des titres à revenu fixe de nos portefeuilles.

Principales opérations pour ce thème

Thème 6 – Conserver l’or, sans toutefois s’attendre à la lune une autre fois

Malheureusement, il est peu probable que l’or grimpe de plus de 60 % encore en 2026.

En effet, nous nous attendons à ce que la demande dans le secteur de la fabrication de bijoux (qui représente plus de 50 % de la demande au cours d’une année typique) baisse, ce qui se traduira par une augmentation des stocks. Cela signifie que les investisseurs particuliers et institutionnels (qui ont assumé le fardeau en 2025) et les banques centrales (10 %) devront combler une partie du vide. 

En toute justice, cela pourrait se produire, l’inflation devant rester un problème pour plusieurs banques centrales. Cependant, cela pourrait entraîner une hausse d’environ 0 % à 5 %. Par conséquent, nous voyons d’un bon œil l’utilisation de la stratégie d’écart sur options d’achat couvertes, qui devrait bonifier les rendements de 5 %.

Principales opérations pour ce thème

Thème 7 – Infrastructures : C’est ennuyeux, et puis?

Les placements dans les fonds d’infrastructures mondiales permettront aux investisseurs d’accéder à des revenus de longue durée qui dépendent d’une demande inélastique. Qui plus est, les besoins en infrastructures sont criants dans les pays développés (surtout à la suite d’améliorations et des pressions en faveur de l’électrification) et dans les pays émergents (en raison des changements démographiques).

Principales opérations pour ce thème

Thème 8 – Couvrir vos risques de change au début de l’année

En règle générale, nous nous abstenons de fournir des idées de change réalisables qui durent plus de trois mois. Cela car les risques de change à long terme ne sont généralement pas récompensés par le marché. En effet, la meilleure pratique consiste à faire preuve d’agilité et à ajuster fréquemment vos expositions. 

Au début de 2026, nous adoptons une position vendeur en $ US/$ CA, ce qui signifie que nous nous attendons à ce que le dollar américain fléchisse par rapport au huard au cours des trois prochains mois. Cette situation s’explique principalement par le fait que nous entrevoyons des possibilités accrues que la BdC ait probablement fini d’assouplir son taux pour le présent cycle, tandis que la Fed pourrait sous-estimer le degré de ralentissement du marché de l’emploi américain et choisir de réduire son taux à quelques reprises l’an prochain. De plus, le marché adopte dans une mesure impressionnante une position vendeur sur le huard en ce moment (selon le positionnement non commercial net dans les contrats à terme concernant des devises). Cela nous rend un peu plus sceptiques quant aux perspectives d’une dépréciation supplémentaire du dollar canadien à partir de maintenant.

Pour obtenir d’autres renseignements sur le marché et des commentaires de FNB BMO, veuillez consulter la page Le point de base et l’ajouter à vos favoris.

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